17 mars 2007
Le crepuscule du monde
A l’aube de notre monde,
La lumière chassa pour la première foi
L’obscurité, et telle l’onde de l’eau
Etant la goute, se dissipait pleinement
Lorsque le Soleil Roi perçait
Et se levait, tel un chaud moi d’été.
Mais le monde n’était rien
Et rien n’était le monde.
Le Soleil de trouvait seul face au néant,
Maître de l’univers,
Maître des ombres.
Quelle ironie !
Il redescendit à l’horizon qui n’était pas,
L’horizon de la conscience,
Celui que tout le monde cherche
En ces terres fertiles.
Il laissa place au crépuscule
Et la nuit repris ces droits…
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